Aujourd’hui, je suis assez fier de vous partager mon premier article concernant un jeu PS5. Il fait partie des jeux de lancement mais j’avais déjà pu y jouer sur PS4 car il s’agit de Devil May Cry 5, mais cette fois-ci dans sa « Special Edition ». Alors est-ce que ray-tracing, performances et difficultés supplémentaires sont la bonne recette d’un cocktail démoniaque ?
Devil May Cry est une série qu’on ne présente plus avec ses jeux solo orientés Beat’em All et édités par Capcom. Cette Spécial Edition nous fait replonger dans le cinquième épisode de la saga qui nous permet d’incarner Dante, Nero et V mais également Vergil à présent. En plus d’un nouveau personnage jouable, il y a un mode turbo et le mode Chevalier sombre légendaire. C’est également la parfaite occasion de tester le ray-tracing sur PS5 !
J’ai pu rédiger un test de Devil May Cry 5 sur sa version PS4, c’est donc avec plaisir que j’ai pu me replonger dans cette Special Edition créée pour la nouvelle génération de consoles.
Dans cette version, on peut parcourir le jeu en 4K et ray-tracing en 30 FPS ou bien monter en 60 FPS avec le ray-tracing mais avec une définition en Full HD ou encore sans le ray-tracing mais en 120 FPS.
Le jeu était déjà vraiment beau et fluide dans sa version PS4 alors pouvoir monter jusqu’à 120 FPS c’est juste dingue niveau vitesse et je ne vous parle pas des temps de chargements hyper réduits ! (merci le SSD de la PS5)
Je le disais, le titre était déjà très beau alors le ray-tracing n’apporte pas une énorme différence mais il faut dire que j’ai fait de nombreuses pauses afin d’admirer les reflets dans les flaques ou les vitres.
Autre grosse nouveauté et pas des moindres, c’est l’ajout d’un personnage jouable : Vergil. Niveau Gameplay, cela apporte un peu de fraîcheur et on reprend une dose de plaisir à détruire du démon. A notre disposition nous avons 4 armes : deux sabres, des poings et pieds surpuissants ainsi que des flèches d’énergie. En plus de cela, Vergil peut faire apparaitre une sorte de clone qui se battra à ses côtés.
Seul bémol, une seule cinématique d’introduction pour le personnage et rien de plus. On enchaîne les missions simplement et c’est dommage de pas avoir des cinématiques dédiées à ce nouveau personnage.
A noter que Vergil est aussi disponible en DLC sur PS4, Xbox One et PC depuis le 15 décembre pour 4,99 euros.
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C’est un plaisir de retrouver DmC sur PS5 avec les nouveautés comme le ray-tracing et les performances d’affichage mais c'est un plaisir en demi-teinte car j’aurais aimé plus voir Vergil autrement qu’en enchainant des missions. Mais au final, cela reste un Devil May Cry 5 Sur PS5 et c’est toujours aussi génial.
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