[TEST] Goat Simulator sur PS4

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Et si aujourd’hui on parlait d’un jeu qui peut facilement prétendre au jeu de l’année ? En tout cas dans la catégorie « what the fuck », Goat Simulator peut remporter la 1ère place haut la main et je vous en parle aujourd’hui dans sa version PS4.

GoatSimulator

Une simulation de chèvre sur PS4, qu’est ce que cela peut bien donner ? Et bien un jeu complètement déglingo.
Ici vous jouez donc une chèvre et pouvez vous déplacer sur deux grandes maps afin de faire toutes les choses qui vous passeront par la tête (à conditions qu’elles ne soient pas trop poussées dans la réflexion quand même…) Ce sont Double Eleven et Coffee Stain qui nous apporte donc ce grand n’importe quoi sur PS4, après une version PC sortie un peu plus tôt.
Un style déjanté complètement assumé, voyons voir plus en détails ce que ce titre nous offre.

GoatSimulator_01

Bon j’avoue que j’ai mis un moment avant de faire abstraction de tous les saladiers de coke qui ont dû être utilisés pour faire ce jeu avant de pouvoir écrire un test. Pour essayer de vous expliquer le concept, nous avons tout d’abord le choix entre 2 maps : Goat Ville et Goat City Bay, 2 grands open worlds de type « bac à sable » ou votre imagination pourra couler à flot.

Au niveau du gameplay nous sommes dans une sorte de jeu à la 3ème personne et vos actions se limiteront à vous déplacer, sauter, mettre des coups de crâne, bêler (of course) ou lécher afin d’agripper tout ce qui vous passera sous le nez, vraiment tout !
Beaucoup d’éléments sont interactifs et vous pourrez ainsi vous retrouver attaché par la langue à un parapente, à faire du trampoline, voler dans l’espace aspiré par une soucoupe volante ou encore à faire une partie de Flappy Goat sur la TV… Voilà voilà, vous avez une petite idée du délire 😀

Malgré le côté barré du jeu, ce dernier propose quand même un mode multi joueur en local jusqu’à 4 joueurs et des défis in-game à réaliser sur chaque map (oui il faut qu’il y ait quand même un minimum de motivation à jouer à part se marrer avec les potes)

Au fur et à mesure de votre progression vous pourrez débloquer différents « power ups » que vous pouvez activer ou non : jet pack, devil goat, skin de girafe, skin d’autruche, etc. toujours dans le même esprit complètement cinglé.

Au niveau des trophées sachez que si vous êtes un trophy hunter, Goat Simulator sera peut être attirer votre attention. Un platine assez facile à obtenir, que j’ai d’ailleurs eu moi-même (proud ! Aheum…) pour seulement 6h de jeu, mais qui peut s’avérer moins long avec un guide pour la collecte et les différentes aides.

 

Bref vous l’aurez compris Goat Simulator, parti à l’origine d’un délire de développeurs, ne demandera pas grand chose au joueur à part débrancher le cerveau pour y jouer. Un titre auquel je mets quand même la moyenne pour l’effort des différents défis et le easy platine à la clé, tout ça pour un prix raisonnable.

 

 J’ai aimé  J’ai moins aimé
  • Le côté WTF totalement assumé
  • Easy platine
  • Gameplay horrible
  • Bac à sable à la limite d’une version beta

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